Brocade (www.brocade.com | NASD:BRCD), leader historique des réseaux FC donc plutôt tourné vers le passé, n'en finit pas de se réinventer. La société innove une nouvelle fois et n'a plus de CMO puisque que John McHugh est parti en Novembre dernier après 2 ans et 9 mois de calvaire. Toujours pas de nouveau CEO non plus et Michael Klayko, l'ancien CEO, est toujours à son poste "temporaire" mais personne ne veut venir. On les comprend, qui viendrait ? pour faire quoi ? vendre ? mais personne n'en veut à ce prix là, le board se casse les dents dessus depuis plusieurs années. Définir une nouvelle stratégie orienté SDN, Cloud, IP et Convergence... personne ne croit plus à Brocade avec cette équipe, les analystes sont sceptiques. Les derniers résultats sont pourtant flat avec une progression mécanique mais pas dynamique avec un CA 2012 à 2238M$ pour 4536 employés. Le ratio est donc excellent mais la market cap reste collée à 2,46B$ quasiment son revenu annuel. Les perspectives négatives futures sont déjà intégrées dans cette valorisation décevante et faible et nous comprenons pourquoi personne ne souhaite mettre plus de 2B$. Quand on pense que le board en voulait 5 ou 6 voire 7B$, on croit rêver, mais la période est propice...
La cata continue chez Brocade
Brocade (www.brocade.com | NASD:BRCD), leader historique des réseaux FC donc plutôt tourné vers le passé, n'en finit pas de se réinventer. La société innove une nouvelle fois et n'a plus de CMO puisque que John McHugh est parti en Novembre dernier après 2 ans et 9 mois de calvaire. Toujours pas de nouveau CEO non plus et Michael Klayko, l'ancien CEO, est toujours à son poste "temporaire" mais personne ne veut venir. On les comprend, qui viendrait ? pour faire quoi ? vendre ? mais personne n'en veut à ce prix là, le board se casse les dents dessus depuis plusieurs années. Définir une nouvelle stratégie orienté SDN, Cloud, IP et Convergence... personne ne croit plus à Brocade avec cette équipe, les analystes sont sceptiques. Les derniers résultats sont pourtant flat avec une progression mécanique mais pas dynamique avec un CA 2012 à 2238M$ pour 4536 employés. Le ratio est donc excellent mais la market cap reste collée à 2,46B$ quasiment son revenu annuel. Les perspectives négatives futures sont déjà intégrées dans cette valorisation décevante et faible et nous comprenons pourquoi personne ne souhaite mettre plus de 2B$. Quand on pense que le board en voulait 5 ou 6 voire 7B$, on croit rêver, mais la période est propice...
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